Jean-Pierre BERNARD

C'est avec une grande tristesse que nous venons d'apprendre le décès de M. Bernard. Il a été mon dentiste alors que j'avais 8 ans et je garde de lui de très bons souvenirs. Il était toujours disponible, prenait des nouvelles de maman Mme LAPAILLOTTE Ginette, sa patiente également, à chaque rendez-vous. Il était professionnel, gentil, généreux, humain... Il avait beaucoup de qualités. Nos chaleureuses pensées vous accompagnent Mme Bernard ainsi que vos deux filles. Avec maman, nous vous adressons nos plus sincères condoléances et nous prenons part à votre peine.
Famille TABOIN et LAPAILLOTTE

C'est avec une très grande tristesse que nous avons appris le décès de M BERNARD , c'était notre dentiste de famille depuis notre plus jeune âge jusqu'à sa retraite, nous garderons de lui un très bon souvenir, il était toujours là quand nous avions besoin, lorsqu'on avait des douleurs dentaires il nous prenait en consultation le jour même ! de jours il faut attendre 3 semaines avec un mal de dents avant d' avoir un rdv ... il était très consciencieux, très arrangeant et humain
Mon frère, mes sœurs ainsi que mes parents se joignent à moi pour vous présenter nos sincères condoléances
et prenons part à votre tristesse
famille TERRIER

Nous venons d'apprendre avec tristesse le décès de Mr BERNARD. Nous garderons de lui son professionnalisme, son humanisme, sa gentillesse, sa générosité.
Nous prenons part à votre peine et vous présentons nos très sincères condoléances.
Mme VAILLOT Monique (retraitée BNPP)
et Mr BORTOLOTTI Daniel (qui fut également son patient de 1992 jusqu'à sa prise de retraite)

C'est avec tristesse que nous avons appris le décès de Monsieur BERNARD. Nous prenons part à votre peine et vous adressons nos sincères condoléances.
De la part de Chantal MARCHAIS, ses filles Aurélie et Emeline, sa soeur Florence BEUVE, anciennes patientes.

C'est avec beaucoup de tristesse que nous venons d'apprendre le décès de Jean-Pierre. Nous ne pourrons pas accompagner la famille demain vendredi, mais nous nous joignons à vous tous par la pensée.

A Madame Bernard ainsi qu'à ses filles ,je suis submergée par une immense tristesse par la perte de Mr Bernard que j'ai apprécié étant son assistante durant 28 ans . Nous avons travaillé ensemble ainsi qu'à vos côtés ,nous liant d'une amitié sincère . C'était une personne admirable proche de ses patients, humaine . J'ai pu le revoir une dernière fois pour un au-revoir accompagnée de ma soeur Line en janvier ,Il était malgré sa maladie ,conscient , intentionné ,prenant des nouvelles de nos familles.... Je revois ces belles années rue de la Monnaie comme les plus belles de ma vie professionnelle à vos côtés . Mes très sincères condoléances .

Madame, j'ai été bouleversé en apprenant le décès de votre mari. Au-delà de notre relation "médicale" puisque je fus l'un de ses patients jusqu'à la prise de sa retraite, il s'était créé entre nous un élan de sympathie qui me fit découvrir, au fil de nos échanges, les valeurs d'humanisme et de générosité de M. Bernard, valeurs que, du reste, je partageais sans réserve. Un souvenir nous lie également, vous et moi, parce que vous avez soigné ma compagne, Hélène Marcelin, qui dût renoncer à vos services quand, en même temps qu'elle vous avez été enceinte de votre fille Élodie et pris votre congé de maternité. Je sais que le décès d'Hélène, en 2001, vous a particulièrement touchée ainsi que votre mari. Je partage aussi avec lui deux souvenirs particulièrement agréables. Cofondateur du cinéma P. Chaussin de Ste-Savine et alors que je lui avais parlé de la projection du film Terre et cendres de Rahimi en janvier 2009 et lui proposais d'animer le débat qui suivrait, il me recommanda son ami Essacq Baloutch qui se chargea avec succès de cette responsabilité. L'autre souvenir concerne également Élodie puisque ce fut dans le cadre des Vendanges aux livres à Landreville où elle présenta son beau récit sur le Toit du monde. De beaux souvenirs qui font resurgir aussi les nombreux échanges que j'eus avec votre mari à la suite de ses voyages ou expéditions qu'il partageait avec votre fille et sur les causes qu'ils voulaient défendre. Aujourd'hui malheureusement l'actualité leur donne raison s'agissant des Ouïghours et me rappelle que c'est par M. Bernard que j'entendis parler pour la première fois de ce peuple persécuté. Il y a quelques années j'ai cru apercevoir votre mari dans une boulangerie. Comme la personne m'a semblé très diminuée physiquement je n'ai pas osé vérifier directement auprès d'elle s'il s'agissait bien de lui. Je vous présente ainsi qu'à votre famille mes condoléances très attristées.